Jonathan cherchait Rabitt, son fidèle compagnon, ce dernier l'avait mené jusqu'au îles flottantes, puis l'a abandonné. Ce dernier voulait certainement joué à cache-cache. En bref, notre magicien, avait perdu sa baguette magique, et donc il ne pouvait pas lancer de sorts pour retrouver son amie farceur, le lapin. En fait, Jonathan savait pertinemment que c'était Rabitt qui lui avait volé sa baguette. Il était épuisé de courir comme un cinglé pour essayer de le rattraper. Jonathan savait qu'il pouvait utiliser ses pouvoirs magiques avec ses mains au lieu de prendre sa baguette, mais ce dernier était fatigué. Alors, le magicien arrêta de poursuivre son amie farceur et s'assit sur le sol tout en contemplant les paysages de rêve qu'il avait devant les yeux. Quand tout d'un coup, il distingua une ombre alors il se leva et dit avec calme :« Qui va-là ? » tout en essayant de voir qui se tenait au loin devant, visiblement c'était une femme. En tout cas, Jonathan était impatient de voir s'il allait pouvoir se faire un nouvel ami.Plus on est fous, plus on rit comme disait souvent notre jeune sorcier déjanté.

Franchement. Franchement. Voilà, c'est tout ce qu'elle avait à dire. Elle était sortie de sa mer, amicale et maternelle, pour se retrouver les pieds ancrés dans cette terre trop dure et trop droite. Elle préférait largement les douces ondulations, le petit bruit de fond des vagues s'écrasant contre le bois de la coque. Mais la, elle se retrouvait encore une fois trop en l'air, et bien trop éloignée de sa flotte. Elle avait si peur pour son amour, peur de le voir entre les mains d'un inconnu. Mais elle avait une confiance aveugle en les filles. L'indic qu'elle état sensée rencontrer n'était pas là. Et elle tapa du pied contre ce malotru qui osait la faire attendre. Elle souffla lourdement, et juste après, entendit une voix. « Qui va-là ? » Ses sourcils se froncèrent d'eux même. Comment ça, qui va là ? Elle s'approcha avec son assurance et son arrogance de pirate feinte vers cet inconnu. C'était peut-être son indic, il ne fallait pas qu'elle ait l'air faible face à lui. Elle fixa l'homme en face d'elle de haut en bas, et sorti son épée pour en coincer la pointe juste en dessous du menton de l'autre. « c'est toi l'informateur de ragnet ? qu'est ce que tu as à me dire ? » Elle le défia du regard, la tête haute, pour lui montrer qu'elle n'avait pas peur.

L'inconnue qui se dressait devant lui était effectivement une femme, comme il l'avait pensé. Seulement, l'inconnue,une jeune femme blonde aux yeux d'un bleu vif, était une belle arrogante. Pourquoi ? C'est simple, dès qu"elle vit Jonathan, elle l'agressa en dégainant une épée et en la pointant vers lui. Selon, Jonathan ça devait être qu'un pirate. Qui d'autre vous agresserez avec une vulgaire épée et chercherait à vous parler sans aucune formule de politesse ? Voyons, ça ne pourrait être qu'un pirate, voyons. Seulement, la belle inconnue, l'intrigua avec ses paroles.  « C'EST TOI L'INFORMATEUR DE RAGNET ? QU'EST CE QUE TU AS À ME DIRE ? » L'informateur de Ragnet ? Qu'est ce que cela voulait bien dire? Jonathan n'en avait pas la moindre idée. Par contre, ce dont il était sûr c'est que la belle jeune femme qui se tenait devant lui, le confondait avec une autre personne. « Tout d'abord, bonjour. Vous devez être un pirate ? Vu votre arrogance. Une jeune et belle femme pirate, on aura tout vue. annonça-t-il avec un air moquer. Il leva son bras et prononça une sorte de formule magique qui fit repousser le pirate et sa vulgaire épée à quelques mètres de lui.« Maintenant, que je n'ai plus votre épee sous le menton, on peut parler. Malheureusement pour, je ne suis pas votre informateur machin chose.Mais, si vous voulez, je pourrais vous aider à le trouver. Si c'est gentiment demandée. Il commença à la fixer du regard, pour lui montrer qu'il n'avait pas peur d'elle.    

Bien qu'elle n'avait en rien peur de l'homme face à elle, elle ne lui faisait absolument pas confiance. Elle sentait qu'il allait lui faire un coup dans le dos, ne pas lui donner son information et l'emmener quelque part où elle n'avait encore une fois pas sa place. Elle tenait son épée entre ses doigts fin, la remontant parfois pour que la pointe perce la chaire de l'inconnu. Tout d'abord, bonjour. Vous devez être un pirate ? Vu votre arrogance. Une jeune et belle femme pirate, on aura tout vue. Elle souffla de dédain. Elle en avait entendu, de ces paroles là, mais dans un temps où les femmes étaient beaucoup moins libres de faire ce qu'elles voulaient que dans les temps actuels. Elle était surprise d'entendre ça, et son envie de lui transpercer la gorge se décupla. Elle n'était pas qu'une vulgaire poupée dont on faisait ce qu'on voulait. Elle était capitaine de navire, et elle était aussi la seule et l'unique en droit de posséder l'océan tout entier. Cependant, avant qu'elle ne puisse esquisser le moindre mouvement, elle se retrouva propulsée plus en arrière. Avec un grognement, elle essaya de garder l'équilibre, la terre ne la réussissant vraiment pas. Maintenant, que je n'ai plus votre épée sous le menton, on peut parler. Malheureusement pour, je ne suis pas votre informateur machin chose. Mais, si vous voulez, je pourrais vous aider à le trouver. Si c'est gentiment demandée. Un petit rire s'échappa de ses lèvres en même temps qu'elle sortit son pistolet de la poche intérieure de son gilet. « pourquoi je te ferais confiance, surtout avec la façon dont tu m'as repousser ? qui me dit que ce n'est pas un plan de ragnet pour me capturer ? » Avec le temps qu'elle avait passé dans cet univers de pirate, elle était entrée dans une sorte de psychose qui faisait qu'elle avait l'impression que tout le monde voulait lui faire du mal. Tout le monde en avait après sa peau, après son navire et son équipage. « tu es bien trop sûr de toi pour ce que tu es » Elle tira en direction de sa jambe, faisant exprès de le louper pour le voir s'éloigner.

Quelle Journée épuisante pour Jonathan, lui qui avait passé des heures à rechercher son lapin blanc, il n’espérait qu'une chose : Prendre un petit moment pour se reposer et voilà que le jeune homme s'est retrouvé avec une jeune femme pirate qui le prenait pour l'informateur d'un certain Ragnet. Franchement, il en avait entendu des histoires depuis son arrivé dans le fantastique monde des rêves, mais là bonde qui se tenait devant lui. Lui, il avait bien envie de la faire disparaître avec sa magie, vu que le pirate est venu s'adresser à lui, avec grande impolitesse. Sérieusement, venir vous poser une question en vous agressant avec une arme blanche, c'était la totale pour réussir à énerver Jonathan. Mais, le jeune essaya de garder son sang froid. Vu, qu'il trouvait le cas de la jeune femme désespérer, il lui proposa son aide mais cette dernière ne semblait pas lui faire confiance vu ses propos. Mais en même temps, le sorcier comprenait un peu la non-confiance de la jeune femme envers lui. Après tout,les dans le monde de la piraterie, les pirates s'allient à une multitude de personnes et dans la plupart des cas ils se faisaient trahir.« POURQUOI JE TE FERAIS CONFIANCE, SURTOUT AVEC LA FAÇON DONT TU M'AS REPOUSSER ? QUI ME DIT QUE CE N'EST PAS UN PLAN DE RAGNET POUR ME CAPTURER ? » Avec cette réplique, le magicien se demandait si le pirate et lui parlaient la même langue. Quand vous attaque voir agresse avec une arme, on doit bien se défendre ? C'était un peu logique comme raisonnement. Sur ce, Jonathan lança un rire moquer, par contre il se prépara à agir quand son interlocutrice  sortit un pistolet de son gilet. Pourquoi me faire confiance ? Parce que je n'ai pas la tête de quelqu'un qui veut vous piéger. Si je  t'ai repoussé, c'est pour me protéger. Tu es venu à moi,en me pointant une vulgaire épée sous menton. Cela est un peu normal, que je veuille me défendre. Tu ne trouves pas ? De plus, si je voulais te capturer, je l'aurais fait depuis longtemps. Jonathan poussa un long soupire. Il n'avait pas la moindre envie de se battre et encore moins contre une jeune femme. Après tout, fallait bien qu'il soit galant avec la belle bonde qui se tenait devant lui. TU ES BIEN TROP SÛR DE TOI POUR CE QUE TU ES » Avant qu'il n'eut le temps d'en placer une, le pirate lui tira dessus, sans doute pour essayer de l'effrayé. Cette dernière, le loupa, sans doute une ruse. Vu l'habitude des pirates à se battre, la tentative ratée de la jeune femme l'étonna.Pour ce que je suis ? Pourtant, je suis un sorcier et à la fois un magicien. Et, je suis supérieur à vous, les pirates. Sinon, enchanté, moi c'est Jonathan. Du coup, pour trouver l'homme que tu recherches, mes pouvoirs te seraient bénéfiques.

Être désarmée, c'était la pire chose qui pouvait lui arriver. Ce n'était pas qu'elle avait toujours peur des autres, même si elle était extrêmement trouillarde, il y avait parfois des créatures inoffensives qu'elle adorait caresser, mais face à une autre personne, elle préférait être en position de domination. Et avec ce corps frêle entre l'adolescence et l'âge adulte, elle savait que niveau force, elle ne pourrait rien faire face à un homme. POURQUOI ME FAIRE CONFIANCE ? PARCE QUE JE N'AI PAS LA TÊTE DE QUELQU'UN QUI VEUT VOUS PIÉGER. SI JE  T'AI REPOUSSÉ, C'EST POUR ME PROTÉGER. TU ES VENU À MOI,EN ME POINTANT UNE VULGAIRE ÉPÉE SOUS MENTON. CELA EST UN PEU NORMAL, QUE JE VEUILLE ME DÉFENDRE. TU NE TROUVES PAS ? DE PLUS, SI JE VOULAIS TE CAPTURER, JE L'AURAIS FAIT DEPUIS LONGTEMPS. Il se trompait. Souvent, les pires traîtrises étaient commises par ceux avec le visage le plus simple. Elle fronça ses sourcils, le jugeant de haut en bas. Il s'y prenait mal, pour la mettre en confiance. Comment pouvait-elle le considérer comme quelqu'un de digne lorsqu'il appelait sa chère Enip de vulgaire épée. Arrogant. Il était bien trop arrogant, et cela lui fit froncer le nez. POUR CE QUE JE SUIS ? POURTANT, JE SUIS UN SORCIER ET À LA FOIS UN MAGICIEN. ET, JE SUIS SUPÉRIEUR À VOUS, LES PIRATES. SINON, ENCHANTÉ, MOI C'EST JONATHAN. DU COUP, POUR TROUVER L'HOMME QUE TU RECHERCHES, MES POUVOIRS TE SERAIENT BÉNÉFIQUES. Pouvait-elle le tuer, là, maintenant ? Comment osait-il dire qu'il était supérieur à elle ! Et aux autres pirates ! Elles étaient les plus braves et les plus vaillantes, les plus courageuses et bien entendu les plus fortes ! Sa flotte était telle qu'elle faisait trembler le fond des océans, son équipage était si grand qu'il faisait frémir tout ceux qui osaient s'approcher. Ah. Elle souffla, de plus en plus énervée face à cet odieux personnage. Elle n'avait besoin de personne. Elles n'avaient besoin de personne. « je n'ai pas besoin de ton aide ! Nous n'avons besoin de l'aide de personne ! Encore moins d'un magicien de pacotille qui se juge supérieur à nous ! » Elle balaya d'un geste la proposition de ce Jonathan. Elle, elle n'était absolument pas enchantée. « si tu n'es pas celui que tu recherches, je n'ai rien à voir avec toi ! tu ne fais que me faire perdre mon temps » Et sur ces mots, elle tira une première balle de son pistolet, essayant de viser son cœur tout en sachant qu'en tant que magicien, il pourrait aisément la stopper. Puis, sous la pression du coup, elle se laissa tomber en arrière pour quitter l'île flottante.